Introduction

Ce blog est construit par L'Amicale Alésia 10, mais ne lui est pas réservé. Les contenus que nous publions peuvent utiles à tous les locataires. les dossiers ouvert (étiquettes) sont d’intérêt général, surtout les législatifs. vous pouvez nous contacter, pour toute question, y compris non ouverte, nous ouvrirons un dossier pour vous aider.
cordialement le webmaster.


LÉGISLATION-ENTRAIDE-CONVIVIALITÉ

mercredi 28 septembre 2016

Projet du 14ème arrondissement

Bravo ! Ce projet est proposé au vote de septembre !
Pour le consulter : Transformation des anciens bains-douches du 12-14 Alésia en salle audiovisuelle
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Déposé le 17/02/2016 par Cassini
Association (FCPE)
LocalisationProjet du 14ème arrondissement

Culture et patrimoineCulture et patrimoine
En rez-de-jardin de l'école 12-14 Alésia (14ème) si situe un ancien bain-douche de la ville. L'idée est de transformer cette pièce de 100 m2 en une salle audio-visuelle qui pourrait bénéficier : - d'une part aux enfants du groupe scolaire (77 Tombe Issoire et 12-14 Alésia, soit 630 élèves environ.) - mais aussi avoir un intérêt général en étant ouverte aux associations du quartier (Ex : FCPE, jardin de l'Aqueduc, Cinéclub le 32 pour leurs projections mensuelles, conseil de quartier, autres écoles... ) En effet en dehors de la petite salle du Saint Gothard, il n'y a pas de salle municipale dans le quartier Montsouris-Dareau. Ainsi cet équipement d'une capacité de 100 personnes environ resterait inclus dans l'école : prétable à l'extérieur, ce ne serait pas un ERP à part entière (plus simple pour le permis de construite). Il n'est pas indiqué ni classé au Plan Local d'Urbanisme. La Commission du vieux Paris aura tout de même sont mot à dire pour la démolition de ce souvenir en état remarquable. A ce propos on pourrait envisager de conserver une douche comme cabine/colonne de projection. Travaux nécessaires : - Il faudra ouvrir une des 2 entrées sur rue (condamnée) pour la sécurité (obligatoire pour recevoir plus de 19 personnes). - Il faudra aussi anticiper l'accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Ceci peut être envisagé dans le cadre plus large de l'école qui comme tout bâtiment recevant du public doit être repensée à l'horizon 2023. Bien qu'une pente dans la cour soit envisageable, on peut craindre qu'elle prenne une trop grande emprise sur la cour de récréation, un ascenseur serait alors à privilégier. NB : Ce projet de salle audio-visuelle a été proposé en visite d'architecture à la mairie de longue date par le directeur de l'école. Cependant le budget école du 14ème ne peut le prendre à son entière charge dans l'immédiat. Le budget participatif est l'occasion de reconnaître son intérêt général et de lui attribuer un budget à ce titre.
Le coût n'a pas été estimé.

Le mode d'emploi du Budget Participatif

Le mode d'emploi
du Budget Participatif
https://budgetparticipatif.paris.fr/bp/le-budget-participatif-.html

1/2

MILLIARD
D'EUROS
 
DES
PROJETS

DE PARISIENS
 
LE
VOTE

DES PARISIENS


Le Budget Participatif en quelques mots

Télécharger :

Le kit de communication
Le flyer du Budget Participatif
Tout savoir sur le Budget Participatif
1. QUI PEUT PROPOSER UN PROJET ?
Toutes les Parisiennes et tous les Parisiens, sans condition d'âge ou de nationalité.

Etape 1 : Qui peut proposer un projet ?
2. QUEL TYPES DE PROJETS ?
Les Parisiens peuvent proposer des projets d’investissement pour leur arrondissement et/ou pour tout Paris. 5% du budget d’investissement de la ville, soit près d’un demi-milliard d'euros jusqu'en 2020, est consacré à ces projets. En 2016, l’enveloppe consacrée au Budget Participatif s’élève à 100 M€ avec pour objectif de favoriser l’émergence de projets dans les quartiers populaires et d’accroître la participation des jeunes. Vous pouvez consulter le périmètre géographique de ces quartiers en cliquant sur le lien suivant : lien vers carto

Etape 2 : Quels types de projets ?
3. COMMENT PARTICIPER ?
Déposer son projet

Vous pouvez déposer votre projet sur le site www.budgetparticipatif.paris entre le 18 janvier et le 19 février 2016, 20h. Pour faciliter cette étape, des permanences sont organisées dans plusieurs arrondissements, leur liste est disponible dans la rubrique agenda du site budgetparticipatif.paris. Et plusieurs mairies proposeront, en lien avec des Conseils de quartier, des Maisons des Associations ou des collectifs locaux, des ateliers d’aide à la rédaction des projets. Vous aurez aussi la possibilité de vous associer aux projets qui vous intéressent, sans nécessairement en déposer un nouveau. En déposant ou en vous associant à un projet, vous serez informés de la suite de son traitement et invités à d’éventuelles réunions le concernant. Une fois déposé, votre projet devient un bien commun : il peut être commenté et des Parisien-nes peuvent s’y associer.

Co-construire son projet

Préalablement au dépôt de votre projet, nous vous invitons à y travailler collectivement, avec d’autres Parisiens, des conseils de quartier, des associations etc… Après le dépôt des projets, vous pouvez être invité-e à construire collectivement les projets qui concerneront une même localisation ou une même thématique. Des ateliers de co-construction, seront alors proposés pour travailler collectivement à la définition d’un projet commun. Ces ateliers de co-construction sont organisés par la Ville de Paris :

en présentiel pour les projets d’arrondissement
en ligne sur le site www.budgetparticipatif.paris pour les projets parisiens. Certains projets parisiens pourront aussi donner lieu à des ateliers présentiels.
Etape 3 : Comment participer ?
4. COMMENT SERONT SÉLECTIONNÉS LES PROJETS SOUMIS AU VOTE ?
Les services de la Ville analyseront la recevabilité des projets qui doivent relever :

de l’intérêt général ;
Exemple :
la création d’une entreprise à caractère commercial ne relève pas de l’intérêt général
Un projet culturel relève de l’intérêt général
de la compétence de la Ville de Paris ;
Exemple :
Le metro ne relève pas de la Ville de Paris, mais du STIF (Syndicat des Transports d’Ile de France)
Des travaux dans un bâtiment municipal relève de l’intérêt général
du budget d'investissement (aménagement de l’espace public ou d’un équipement, application numérique, achat d’équipements pour les écoles, musées ou bibliothèques) sans générer de dépenses de fonctionnement (dépenses nécessaires à la gestion courante de la ville : rémunération des personnels, achats des services, subventions de fonctionnement aux associations, etc.) trop importantes.
Exemple :
La construction d’une piscine génère trop de dépenses de fonctionnement en raison du besoin de personnels
La rénovation d’un square relève du budget d’investissement
Les projets recevables font ensuite l’objet d’une étude de faisabilité et d’un chiffrage estimatif.

Les projets jugés faisables techniquement sont étudiés au sein de commissions qui se réunissent dans chaque arrondissement et à l’échelle de Paris.

Composition des commissions pour les projets d’arrondissement

Un collège « élus » (6 personnes)
Le(a) Maire de l’arrondissement ou son(a) représentant(e)
Trois élu(e)s de la majorité
Deux élu(e)s de l’opposition (un seul dans le cas où il n’y en aurait qu’un)
Un représentant de la Maire de Paris
Un collège "vie citoyenne"
Un titulaire et un suppléant (habitants) par conseil de quartier (soit entre 3 et 11 habitants représentants selon les arrondissements)
Un représentant de chaque instance de démocratie locale existant dans l’arrondissement : conseil local du handicap, conseil des enfants, conseil des seniors, assemblée des citoyens extra-communautaires…
Les services de la Ville sont présents pour répondre aux interrogations sur les projets proposés :

Le directeur de la MDA,
Le DGS ou son DG(A)S,
Le(s) coordinateur(s) des conseils de quartier (1 ou 2 personnes selon les arrondissements),
Un représentant des services de la Ville concernés,
Le cas échéant, un représentant de l’équipe de développement local.
Composition de la commission parisienne

Un collège « élus » (9 personnes)
L’adjointe à la Maire de Paris chargée de la démocratie locale, de la participation citoyenne, de la vie associative, de la jeunesse et de l’emploi
Le premier adjoint chargé de la culture, du patrimoine, des métiers d’art, des entreprises culturelles, de la nuit et des relations avec les Mairies d’arrondissement
L’adjoint à la Maire de Paris, chargé des finances, des sociétés d’économie mixte, des marchés publics et des concessions
Un représentant de chaque groupe politique au Conseil de Paris.
Un collège « vie citoyenne » (10 personnes)
Huit personnes tirées au sort parmi les parisiens inscrits sur le site du Budget Participatif
2 Parisiens ayant déposé un ou des projets à titre individuel
2 Parisiens ayant déposé un ou des projets au nom d’une association
2 Parisiens ayant déposé un ou des projets au nom d’un Conseil de quartier, parmi les projets retenus dans le cadre des Commissions ad hoc d’arrondissement
2 Parisiens inscrits sur la plateforme
Un représentant du Conseil Parisien de la Jeunesse (CPJ)
Un représentant de "Etudiants de Paris - le Conseil"
A l’issue des commissions, la liste définitive des projets soumis au vote est arrêtée par le/la Maire d’arrondissement pour les projets d’arrondissement et la Maire de Paris pour les projets parisiens.

Etape 4 : Comment seront sélectionnés les projets soumis au vote ?
5. LES MODALITÉS DU VOTE
Tou(te)s les Parisien-nes peuvent voter sans condition d’âge ni de nationalité (sont considérés comme Parisiens les personnes qui habitent à Paris).

Deux votes concomitants : pour les projets d’envergure parisienne et pour les projets d’arrondissement.

Cette année, les projets dans les quartiers populaires, pour lesquels une enveloppe de 30 M€ sera consacrée, feront l’objet d’une organisation spécifique, dont les modalités seront précisées avant l’été.

NB : un-e Parisien-ne peut voter que pour les projets de son arrondissement de résidence, ou celui dans lequel il travaille.

Deux modalités de vote :

Sur le site dédié www.budgetparticipatif.paris
Dans l’une des urnes déployées sur l’ensemble du territoire parisien, dont la liste et la localisation peuvent être consultés sur le site www.budgetparticipatif.paris
6. LA MISE EN OEUVRE DES PROJETS VOTÉS
Le financement des projets lauréats, retenus par le vote des Parisien-nes, est formellement validé lors du vote du budget au Conseil de Paris de décembre. La mise en œuvre de ces projets lauréats par la Ville peut alors débuter. Les Parisien-nes qui les ont initiés peuvent y être associé-es.

7. LE CALENDRIER
Jusqu’au 19 février : déposez vos projets, commentez ou associez-vous à des projets déjà proposés sur www.budgetparticipatif.paris
De mars à mai : Participez éventuellement à des ateliers de co-construction de projets issus de propositions convergentes (même localisation, même thématique....).
De juin à septembre : Consultez les projets qui seront soumis au vote de septembre et préparez la communication pour soutenir et faire connaître le ou les projets que vous soutenez
En septembre : Votez pour vos projets préférés sur www.budgetparticipatif.paris ou dans les lieux de vote répartis sur l’ensemble du territoire parisien
En décembre : Le financement des projets lauréats est adopté lors du vote du budget primitif du Conseil de Paris. La mise en œuvre de ces projets lauréats par la Ville peut alors débuter. Les Parisien-nes qui les ont initiés pourront y être associé-es.
Etape 7 : Le calendrier
8. ÊTRE INFORMÉ DE L’AVANCEMENT DE LA RÉALISATION DES PROJETS VOTÉS
La réalisation des projets lauréats fera l’objet d’une information régulière diffusée sur www.budgetparticipatif.paris.fr.

Les personnes qui sont abonnées aux notifications concernant les projets qu’ils ont déposés ou ceux auxquels elles se sont associées (onglet «Notification» de la rubrique «Mon Compte») seront informées par courriel de l’avancée des projets et des prochaines étapes du budget participatif.

Des réunions d’information seront également organisées en début d’année afin d’échanger sur la mise en œuvre et la réalisation des projets lauréats 2015 afin que vous soyez associés, dans toute la mesure du possible, à leur réalisation.

Pour les projets parisiens : une réunion de travail en présence de Pauline Véron, Adjointe à la Maire de Paris en charge notamment du budget participatif vous permettra d’échanger avec les agent-e-s de la ville de Paris afin de répondre à l’ensemble de vos questions.
Pour les projets d’arrondissement, certaines Mairies d’arrondissement organiseront prochainement des réunions de travail afin d’échanger avec vous sur la mise en œuvre et la réalisation des projets lauréats d’arrondissement. Ces réunions de travail permettront d’échanger avec les agents de la ville de Paris.
Vous pouvez télécharger :

Le flyer du Budget Participatif
Tout savoir sur le Budget Participatif
Charte du Budget Participatif 2016


Etape 6 : Être informé de l’avancement de la réalisation des projets votés

La Charte de #NotreBudget
PRÉAMBULE
Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s’appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes rendus de mandat, les réunions de concertation. L’essor de la participation et de l’engagement citoyen constitue un enjeu démocratique majeur, garant de la cohésion sociale et du « vivre ensemble ». A ce titre, la Ville de Paris souhaite permettre aux Parisiennes et Parisiens d’influer encore davantage, en leur donnant la possibilité de faire connaître leurs préférences concernant l’utilisation d’une partie du budget d’investissement de la municipalité.

Les Parisiennes et les Parisiens peuvent ainsi, d’une part, formuler des propositions relevant de l’investissement, et, d’autre part, voter pour les propositions émises qu’ils estiment prioritaires.

La mise en oeuvre du budget participatif constitue une innovation démocratique majeure, d’une ampleur inédite : les Parisiennes et les Parisiens sont invités à se prononcer directement sur l’affectation de 5% du budget d’investissement de la Ville.

Reposant sur une méthode de gouvernance ouverte et moderne, le budget participatif est avant tout une déclaration de confiance faite aux Parisiens. Il doit permettre de renforcer les liens entre les citoyens, les institutions et leurs représentants, d’assurer toujours davantage de transparence dans la gestion des finances publiques, d’inventer une pédagogie de l’action publique, et de s’appuyer sur l’expertise et la créativité des Parisiens.

Il s’agit d’un projet ambitieux, mobilisant l'ensemble de l'équipe municipale et des agents de l'administration parisienne.

Selon qu’il s’agisse de propositions d’envergure parisienne ou d’application localisée, le financement des projets est assuré par la mairie centrale ou en co-financement avec les mairies d’arrondissement (cf. infra).

La présente Charte définit le cadre général de mise en oeuvre du budget participatif, qui obéit à deux grands principes énoncés ci-après. Un comité de pilotage qui réunit l’ensemble des maires d'arrondissement volontaires est mis en place afin de préciser, la composition de la Commission ad hoc de sélection des projets, le calendrier définitif et les modalités du vote.

Cette Charte peut être révisée, notamment sur la base des bilans effectués à l’issue des campagnes annuelles du budget participatif, en concertation avec le Comité des arrondissements et après consultation de la Commission Parisienne du Débat Public.

Lire la suite...
Le Budget de Paris ?
LE BUDGET COMMENT ÇA MARCHE ?
Le budget annuel de la Ville de Paris est de 8 milliards d'euros. 82 % des dépenses sont consacrées au fonctionnement et 18 % à l'investissement.

Le budget de fonctionnement retrace l'ensemble des dépenses et recettes nécessaires à la gestion courante de la ville (rémunération des personnels, achats des services, subventions aux associations, etc.).

Le budget d'investissement correspond à toutes les dépenses de construction, de rénovation de bâtiment ou de l'espace public comme la voirie ou les jardins.

Le budget participatif propose aux Parisiens de décider de l'utilisation de 5 % du budget d'investissement, soit un demi-milliard d'euros entre 2014 et 2020.


Le budget de Paris: comment ça marche par Mairie de Paris

En savoir plus sur le site www.paris.fr.

Les budgets de la Ville de Paris
Le calendrier du budget
L'ÉLABORATION DU BUDGET À PARIS : UNE ANNÉE DE TRAVAIL
Le budget de la Ville de Paris est voté par le Conseil de Paris qui prévoit les dépenses et les recettes de la collectivité pour une année.

La préparation administrative

Janvier-mars : préparation technique
Avril-juin : négociations administratives
La préparation politique

Septembre-octobre : négociations politiques
Octobre : débat d'orientation budgétaire au Conseil de Paris
Octobre : conférence de programmation des équipements entre le Maire de Paris et les maires d'arrondissement

Décembre : adoption du budget
https://budgetparticipatif.paris.fr/bp/jsp/site/Portal.jsp?page=search-solr&conf=projects_mdp_detail&items_per_page=1&page_index=47&prev_items_per_page=21&query=&fq=localisation_text%3A14e%20arrondissement&fq=type%3AProjet%202015&sort_name=1475085782762_random&sort_order=asc

Participez au Conseil citoyen !

Participez au Conseil citoyen !

Les conseils citoyens sont mis en place dans les quartiers de la «Politique de la Ville » pour permettre aux habitants d’exprimer leurs attentes, leurs propositions et participer aux décisions prises sur leur territoire. Ils font intervenir également les associations et acteurs locaux. Inscrivez-vous dès maintenant et venez construire l’avenir de votre quartier !
Conditions : habiter, étudier ou exercer une activité dans un quartier concerné ou être membre d’une association de ce quartier. (Voir la carte des quartiers concernés dans le document en téléchargement ci-dessous).
Contact :
Equipe du développement local du 14e
2, square Auguste Renoir
conseilcitoyen14@gmail.com
01 53 26 69 01



 

Fichiers en téléchargement

vendredi 16 septembre 2016

Les menuiseries extérieures et la sécurité des personnes

Les menuiseries extérieures et la sécurité des personnes

Les menuiseries extérieures et la sécurité des personnesL'architecture actuelle a souvent recours à de grandes baies vitrées équipées de menuiseries extérieures dont la hauteur équivaut à celle des étages. Ces ouvrages sont particuliers dans la mesure où leur conception doit intégrer la sécurité des personnes. Le présent article traite du choix du verre conformément à la NBN S 23-002.
Dans le cas des menuiseries extérieures, assurer la sécurité des personnes consiste à prendre en compte le risque de chute dans le vide (par défenestration ou basculement) lorsque la menuiserie remplit une fonction de garde-corps, mais également le risque de blessure au contact d'éclats tranchants, p. ex. Il est bien entendu que la notion de sécurité des personnes doit être appréciée en fonction d'un usage 'normal' ou 'normalement prévisible' des ouvrages. Ceci exclut toute prise de risque volontaire et délibérée de la part des usagers.

1. Le contexte normatif

La diversité des vérifications à effectuer nous oblige à tenir compte de différentes normes et spécifications :
  • la norme NBN S 23-002 indique le verre à utiliser (float, feuilleté, trempé) et résulte de la mise à l'enquête publique des STS 38, aujourd'hui devenues caduques
  • la norme NBN EN 1991-1-1 spécifie la valeur des actions statiques en fonction de la catégorie d'utilisation du bâtiment
  • le projet de norme prNBN B 25-002-1 précise quelles sont les actions dynamiques à prendre en compte sur les menuiseries et résulte de la mise à l'enquête publique des STS 52.0.
Dans un rapport à paraître prochainement, le CSTC se propose de coordonner le contenu de ces différents documents de référence, de faire la synthèse des exigences en fonction des conditions de projet et de les compléter afin de permettre une évaluation et une interprétation univoques.

2. Le choix du vitrage

dans le tableau 5 de la norme NBN S 23-002 (reproduit intégralement dans l'article long). Huit types d'application différents y sont envisagés. Ceux-ci sont définis sur la base de caractéristiques telles que la nature et l'inclinaison de la paroi vitrée (paroi verticale, porte, toiture, ...), la hauteur de chute et celle de l'allège éventuelle ainsi que l'activité prévue de part et d'autre du vitrage. Le type de vitrage à mettre en œuvre selon le cas est, quant à lui, spécifié de la manière suivante :
  • B = verre feuilleté sans autre précision (un PVB (1) suffit, minimum 33.1)
  • C = verre trempé
  • 2B2 = verre feuilleté composé de deux épaisseurs de verre et d'un PVB = protection contre les blessures
  • 1B1 = verre feuilleté composé de deux épaisseurs de verre et de deux PVB (minimum 33.2) = protection contre les chutes dans le vide et les blessures
  • 1C- = verre trempé (minimum 4 mm) = protection contre les blessures
  • A = verre qui n'est pas de sécurité, verre float recuit, durci, trempé chimiquement.
Pour un certain nombre de bâtiments tels que les maisons d'habitation, il est possible, dans certains cas, de ne pas recourir à un vitrage de sécurité (et d'autoriser un verre de type A). Le cas échéant, il convient de prouver que le vitrage ne casse pas à la suite d'un essai de choc. Par ailleurs, un verre feuilleté peut toujours remplacer un verre trempé, mais non l'inverse. Dans le cas d'un vitrage isolant, lorsqu'un des deux vitrages est trempé, l'autre doit également être un vitrage de sécurité (trempé ou feuilleté). 

L'article complet proposera une série d'exemples courants, tels que ceux représentés à la figure 1, et développera pour chacun d'eux la marche à suivre pour procéder au choix correct du vitrage. 

Fig. 1 Bâtiment résidentiel : exemples types de menuiseries extérieures.
Fig. 1 Bâtiment résidentiel : exemples types de menuiseries extérieures.
Si l'on s'attarde plus particulièrement à la menuiserie X de la figure 1, il y a lieu de considérer que celle-ci est composée d'une allège menuisée fixe et vitrée d'une hauteur de 0,9 m surmontée d'une partie fixe également vitrée. La hauteur de chute hc (2) est supérieure à 1,5 m. 

En ce qui concerne l'allège, le cas 2 du tableau 5 de la norme précitée est d'application. 

Pour le choix de la vitre intérieure, on considère que les locaux du bâtiment relèvent de la catégorie A du tableau (habitations, bâtiments résidentiels). Sachant qu'il n'y a pas de protection permanente de type garde-corps ni à l'extérieur, ni à l'intérieur, la vitre intérieure concernée doit être un verre 1B1, autrement dit un verre feuilleté composé de deux épaisseurs de verre et de deux PVB (minimum 33.2). Il n'existe pas d'autre possibilité. 

Quant à la vitre extérieure du même volume, aucun choc ne pouvant provenir de l'extérieur, le choix du verre est normalement libre. 

En ce qui concerne la partie fixe située au-dessus de l'allège, nous sommes dans le cas 3 du tableau précité, ce qui signifie qu'aucun verre de sécurité n'est exigé, ni à l'intérieur, ni à l'extérieur, puisque le bord inférieur du vitrage se trouve à une hauteur ≥ à 0,9 m par rapport au sol. 

Pour conclure, précisons également que la nouvelle norme ne spécifie rien à propos des remplacements occasionnels. Si le vitrage doit être remplacé après un accident et qu'il est évident que la situation est dangereuse en elle-même, nous conseillons néanmoins de respecter les prescriptions de la nouvelle norme. 

Le remplacement des fenêtres est-il à la charge du locataire ?

Le remplacement des fenêtres est-il à la charge du locataire ?

Vous êtes locataire et vous voulez remplacer vos fenêtres, ou vous avez eu une vitre brisée et vous voulez en profiter pour changer de type de fenêtre. Est ce au propriétaire ou au locataire de payer pour un remplacement de fenêtre, ou une vitre brisée ?

Devoir d’entretien des locataires

Le locataire doit s’occuper de l’entretien courant du domicile qu’il habite. Il doit utiliser les appareils et les installations à sa disposition de la bonne façon, et veiller à ne pas les abîmer.
La loi Alur, applicable depuis le 01 Janvier 2015, définit particulièrement l’entretien lié aux fenêtres, notamment concernant le bon fonctionnement des mécanismes d’ouverture et de fermeture. Ainsi, il est à la charge du locataire* de s’occuper du graissage des gonds et des charnières, mais aussi de remplacer toutes les petites pièces abîmées (boulons, crémones..). Le locataire doit aussi s’occuper du remplacement des vitres brisées, et de la mise de mastic si nécessaire sur ses vitres.
Tout dépend aussi du type de fenêtre que vous avez dans votre logement. Des fenêtres en bois bien entretenues dureront pendant très longtemps, à condition de les traiter contre l’humidité et les maladies. Le bois est une matière noble et vivante, que vous pourrez réparez au fur et à mesure à l’aide de traitement préventif (huile, vernis) et curatif (traitement contre les champignons). Les fenêtres en PVC sont plus délicates, et il est rapidement nécessaire de faire appel à un vitrier afin d’effectuer les réparations nécessaires.

En cas de vitre brisée

Le locataire est tenu de supporter les frais liés à une vitre brisée, et de la remplacer si nécessaire.
En cas de bris de glace, prévenez votre propriétaire et contactez un vitrier lors d’un jour ouvré. Un vitrier ne pourra pas faire de remplacement de vitre en urgence, car il aura besoin de prendre les mesures et d’effectuer la découpe de la vitre.
Ramassez les débris tombés par terre, et bâchez le reste de la fenêtre avec du plastique et du scotch par exemple.

Devoir de location d’un logement décent du propriétaire

Le propriétaire s’engage à louer un logement salubre et confortable (obligation de délivrance en bon état, obligation de délivrance d’un logement décent). Il doit pallier à toutes les réparations qui s’imposent pour vétusté et remplacer les appareils qui le nécessitent (trop vieux, plus aux normes..). Le propriétaire prend aussi à sa charge, par le biais du syndic de copropriété, tous les travaux nécessaires dans les parties communes (en dehors de l’appartement)
Le propriétaire ne prend pas à sa charge les frais concernant un défaut d’entretien ou une mauvaise utilisation d’un appareil mis à la disposition du locataire.
Ainsi, en cas de carreau ou de vitre brisée, c’est au locataire de prendre à sa charge les réparations de la fenêtre, mais il y a très peu de cas ou le propriétaire pourrait lui demander le paiement intégral de nouvelles fenêtres.

vendredi 26 août 2016

(7) Mairie 14 ParisFORUM DE RENTRÉE DE LA MAIRIE DU 14E ARRONDISSEMENT

(7) Mairie 14 Paris
S'informer sur tout: loisirs, culture, sport, service public...
[ Les stands d'information ]
Mairie du 14e & services publics
Pour rencontrer, au même endroit, tous les services qui nous facilitent la vie au quotidien.
Possibilité de vous inscrire sur les listes électorales.

Culture et loisirs
Pour trouver une activité artistique correspondant à ses envies.

Solidarité & emploi
Pour savoir à quelle porte frapper quand on recherche un emploi ou lorsqu’on a besoin de soutien.

École & jeunesse
Pour s’informer des activités de loisirs ou de soutien scolaire.

Associations
Pour découvrir toute la richesse et la vitalité du mouvement associatif.

Sport
Pour trouver des activités sportives et découvrir les clubs.

L’Europe
Pour découvrir les associations parisiennes promouvant la culture de nos partenaires européens
 et de l’Europe.

Citoyenneté
Pour aller à la rencontre des Conseils de Quartier et découvrir l’édition annuelle du Budget Participatif Parisien.

[ Découvrir et s’amuser ! ]
De 14 h à 18 h, Parvis de la Mairie
• À la rencontre des Lulus de l’association « Lulu dans ma rue »
• Ateliers de réparation de vélos par « la Régie de quartier », la Bricothèque,
 l'Accorderie et le Solicycle
• Ateliers couture avec l’association « L’Art de coudre »
• Ramenez vos tissus usagers et initiez-vous au « Saki-ori »
 technique ancestrale japonaise de récupération de textiles usagés pour le tissage !
 Rdv sur le stand de l’association franco-japonaise « Talachiné »
• Visite d’un camion de Pompier et d’un véhicule de la Police Nationale
• Démonstration de vol de drones par le Fablab Le Lorem
• À la rencontre des secouristes de la Croix Rouge et de la Protection Civile pour
 participer à des initiations aux gestes de premiers secours, découvrir 
ses associations et leurs actions.
• Maquillage pour enfants et buvette de jus de fruits BIO par le Centre d’Animation Vercingétorix

Square Ferdinand Brunot
• Château gonflable pour les Enfants

Place Jacques Demy
• Plus de 40 démonstrations sportives assurées par les
membres de l’OMS

[ Végétaliser et réemployer ! ]
De 14h à 18h, Square Ferdinand Brunot
• Ateliers de jardinage, rempotage, teinture végétale, échanges de graines 
avec les associations l’atelier du Bricorecycleur, Florimont et Graine de Quatorzien,
 la Direction des Espaces Verts et de l’Environnement de la Ville de Paris
• Buvette et stand anti-gaspillage alimentaire avec Le Marché Solidaire
• Actions de sensibilisation contre le gaspillage alimentaire avec la Direction
 de la Propreté et de l’eau de la Ville de Paris, les associations Biocycle et Atharame.
• Grand jeu de l’oie sur la lutte contre le gaspillage alimentaire par la Caisse des écoles
• Présentations des associations œuvrant pour le développement durable
• Studio photo « live » par le Photoclub Paris Val-de-Bièvre

[ Se restaurer et danser ! ]
Parvis de la mairie
• Dès 12 h : Ateliers gastronomiques avec Croq’ L’espoir
• 14 h-21 h 30 : Buvettes et restauration
• À partir de 18 h 30 : possibilité de piqueniquer et de se restaurer sur place
À PARTIR DE 19 h 30 :
GRAND BAL POPULAIRE SUR LE PARVIS PAR LE BRINGUEBAL

mercredi 24 août 2016

Canicule à Paris 2016

Canicule à Paris 2016
En réaction à cet épisode de chaleur éprouvant, la Mairie de Paris, sur proposition du groupe écologiste, a décidé d’étendre le nombre de parcs et jardins ouverts 24h/24 (en plus des 123 espaces verts ouverts habituellement en continu).

Les cinq grands parc ouverts 24h/24 (au moins jusqu’à lundi 6 juillet :
le parc Monceau (8e) ;
le parc Montsouris (14e) ;
le parc André Citroën (15e) ;
le parc Martin Luther King (17e) ;
le parc des Buttes Chaumont (19e).

Ces parcs disposent de toilettes et fontaines à eau pour se désaltérer et se rafraichir.

LA CANICULE, C’EST QUOI ?
Dès qu’il fait très chaud, on parle de canicule. La véritable définition ? Selon l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé), quand ces 3 conditions sont réunies : il fait très chaud (plus de 30°C en journée) ; la nuit, la température ne descend pas, ou très peu ; cela dure depuis plusieurs jours (au moins 3).

LA POLLUTION À PARIS

Dans la capitale, la première conséquence d’un tel pic de chaleur est une forte pollution atmosphérique. Pour les recommandations, c’est par ici.

RECOMMANDATIONS FACE À LA CHALEUR
Il est conseillé de bien s’hydrater, surtout en voiture ou si vous pratiquez une activité sportive. Pour les activités physiques pratiquées à l’extérieur, évitez le créneau horaire le plus chaud 12h-17h. Une vigilance accrue est enfin recommandée pour les enfants en bas âge et pour les personnes âgées.

Au bureau, vous avez la climatisation mais pas dans votre appartement parisien ? Pour conserver votre logement au frais, les conseils sont simples et connus quasiment de tous : fermez les fenêtres et les stores ou volets en journée, tendez un drap humide à la fenêtre lorsque vous rentrez chez vous, créez des courants d’air la nuit, utilisez un ventilateur, un brumisateur...

Les recommandations du Ministère de la Santé pour les personnes sensibles :


- Buvez régulièrement de l’eau sans attendre d’avoir soif ;

- Rafraîchissez-vous et mouillez-vous le corps (au moins le visage et les avants bras) plusieurs fois par jour ;

- Mangez en quantité suffisante et ne buvez pas d’alcool ;

- Évitez de sortir aux heures les plus chaudes et passez plusieurs heures par jour dans un lieu frais (cinéma, bibliothèque municipale, supermarché, musée...) ;

- Évitez les efforts physiques ;

- Maintenez votre logement frais (fermez fenêtres et volets la journée, ouvrez-les le soir et la nuit s’il fait plus frais) ;

- Pensez à donner régulièrement de vos nouvelles à vos proches et, dès que nécessaire, osez demander de l’aide ;

- Consultez régulièrement le site de Météo-France pour vous informer.


- Si vous connaissez des personnes âgées, handicapées ou fragiles qui sont isolées, incitez-les à s’inscrire sur la liste mise à leur disposition par chaque mairie afin de recevoir de l’aide de bénévoles, et, pendant une vague de chaleur, prenez de leurs nouvelles régulièrement.

NUMÉROS UTILES
Le numéro d’aide de la Ville de Paris, le 3975, est toujours d’actualité. Et voici le numéro gratuit, national, Canicule info service : 0.800.06.66.66 (tous les jours de 9h à 19h).

SE RAFRAÎCHIR ET PROFITER DE LA CHALEUR
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securité , canicule et rentrée






Alerte canicule niveau 3

Alerte canicule niveau 3
Mise à jour : 23 août 2016
Le préfet de la région d’Île-de-France, préfet de Paris a activé ce jour, le mardi 23 août 2016, à 18h, le niveau 3 (Alerte Canicule) du plan départemental de gestion de la canicule à Paris, élaboré conjointement avec le préfet de police, préfet de la zone de défense et de sécurité de Paris, la délégation territoriale de Paris de l’Agence régionale de santé – Île-de-France et la maire de Paris.



En concertation avec la maire de Paris et tous les partenaires du plan parisien, le préfet de la région d’Île-de-France, préfet de Paris, a décidé de déclencher les mesures suivantes :



·         activation par la maire de Paris d’un centre d’appel téléphonique (3975) qui prend contact avec les personnes fragiles qui se sont préalablement inscrites à cet effet ou dont la situation critique lui est signalée ;



·         séjour en salles rafraîchies (entre 14h et 18h)  de toutes les personnes pour lesquelles des professionnels de la santé ou du social, les intervenants du téléopérateur auront demandé une inscription auprès du Centre d'action sociale de la Ville de Paris (CASVP). Ces salles sont situées, notamment, dans des Établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) du CASVP et du secteur associatif ou privé, voire en cas de besoin dans des hôtels parisiens.  Ces personnes sont invitées à se déplacer par leurs propres moyens. Toutefois, le transport est assuré par la Ville lorsque la personne inscrite est dans l’incapacité ou rencontre des difficultés à se déplacer par elle-même ;



·         ouverture de salles rafraîchies en accès libre (entre 14h et 18h), notamment dans les mairies d’arrondissement et des clubs du CASVP, pour les personnes non inscrites au fichier Chalex ; les « maraudes » associatives et municipales sont renforcées. Des lieux rafraîchis sont signalés à l’usage du grand public, d’autres sont spécialement aménagés pour offrir aux personnes fragiles un répit sécurisé au frais.



Contact presse :

Préfecture de la région d’Île-de-France, préfecture de Paris - Service presse : 01 82 52 40 25 pref-communication@paris.gouv.fr 

Mairie de Paris : Service de presse : 01 42 76 49 61 - service.presse@paris.fr

mercredi 17 août 2016

recrutements réservés permettant l’accès à l’emploi titulaire des agents contractuels de la fonction publique hospitalière

Le 17 août 2016


JORF n°0189 du 14 août 2016

Texte n°17


Décret n° 2016-1119 du 11 août 2016 relatif à la prolongation des recrutements réservés permettant l’accès à l’emploi titulaire des agents contractuels de la fonction publique hospitalière

NOR: AFSH1617507D


ELI:https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2016/8/11/AFSH1617507D/jo/texte
Alias: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2016/8/11/2016-1119/jo/texte




Public concerné : agents régis par le décret n° 91-155 du 6 février 1991 relatif aux dispositions générales applicables aux agents contractuels des établissements mentionnés à l’article 2 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière et en fonctions sur des emplois permanents.

Objet : prolongation des recrutements réservés permettant l’accès à l’emploi titulaire des agents contractuels de la fonction publique hospitalière.

Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.

Notice : le décret met en œuvre la prolongation de deux ans du dispositif de recrutement réservé d’accès à l’emploi titulaire prévu par les articles 24 à 29 de la loi n° 2012-347 du 12 mars 2012, modifiée par la loi du 20 avril 2016.

Outre la modification de la date de fin du plan de titularisation au 13 mars 2018, il prend en considération l’extension du champ des agents bénéficiaires de ce dispositif aux agents contractuels justifiant de l’ancienneté requise au 31 mars 2013.

Le décret précise l’établissement auprès duquel chaque agent éligible peut candidater : cet établissement est déterminé par les conditions d’emploi de chaque agent, compte tenu de l’élargissement du champ d’éligibilité prévu par la loi.

Le texte met à jour l’annexe 1 du décret du 6 février 2013 pour tenir compte des modifications statutaires intervenues s’agissant des sages-femmes des hôpitaux et des ergothérapeutes.

Références : le décret est pris en application des articles 40 et 41 de la loi du 20 avril 2016 relative à la déontologie, aux droits et aux obligations des fonctionnaires. Le texte ainsi que le décret qu’il modifie, dans sa rédaction résultant de cette modification, peuvent être consultés sur le site Légifrance (http://www.legifrance.gouv.fr).


Le Premier ministre,

Sur le rapport de la ministre des affaires sociales et de la santé et de la ministre de la fonction publique,

Vu la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière ;

Vu la loi n° 2012-347 du 12 mars 2012 modifiée relative à l’accès à l’emploi titulaire et à l’amélioration des conditions d’emploi des agents contractuels dans la fonction publique, à la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives à la fonction publique ;

Vu la loi n° 2016-483 du 20 avril 2016 relative à la déontologie, aux droits et aux obligations des fonctionnaires ;

Vu le décret n° 2013-121 du 6 février 2013 pris pour l’application du chapitre III du titre Ier de la loi n° 2012-347 du 12 mars 2012 relative à l’accès à l’emploi titulaire et à l’amélioration des conditions d’emploi des agents contractuels dans la fonction publique, à la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives à la fonction publique ;

Vu le décret n° 2016-636 du 19 mai 2016 relatif à l’organisation des carrières des fonctionnaires de catégorie C de la fonction publique hospitalière ;

Vu l’avis du Conseil national d’évaluation des normes en date du 9 juin 2016 ;

Vu l’avis du Conseil supérieur de la fonction publique hospitalière en date du 15 juin 2016 ;

Le Conseil d’Etat (section de l’administration) entendu,

Décrète :


Article 1


Le décret du 6 février 2013 susvisé est modifié conformément aux articles 2 à 5 du présent décret.

Article 2


A l’article 1er, les mots : « 13 mars 2016 » sont remplacés par les mots : « 13 mars 2018 ».

Article 3


L’article 2 est ainsi modifié :

1° Au I, après les mots : « au 31 mars 2011 », sont insérés les mots : « ou au 31 mars 2013, » ;

2° Après le III sont ajoutés trois alinéas ainsi rédigés :

« IV. - Les agents employés en contrat à durée déterminée au 31 mars 2013 ne peuvent se présenter qu’aux recrutements réservés qui sont ouverts au sein de l’établissement mentionné à l’article 2 de la loi du 9 janvier 1986 susvisée dont ils relevaient au 31 mars 2013.

« Par dérogation à l’alinéa précédent, les agents dont le contrat à durée déterminée a été transféré du fait d’un transfert d’activités, d’autorités ou de compétences après le 31 mars 2013 dans les conditions prévues au septième alinéa de l’article 26 de la loi du 12 mars 2012 susvisée ne peuvent se présenter qu’aux recrutements réservés qui sont ouverts au sein de l’établissement mentionné à l’article 2 de la loi du 9 janvier 1986 susvisée dont ils relèvent après ce transfert.

« V. - Les agents dont le contrat a cessé entre le 1er janvier et le 31 mars 2013 ne peuvent se présenter qu’aux recrutements réservés qui sont ouverts au sein de l’établissement mentionné à l’article 2 de la loi du 9 janvier 1986 susvisée dont ils relevaient à la date de leur dernier contrat ayant cessé au cours de cette période. »

Article 4


A l’article 3, après les mots : « 31 mars 2011 », sont insérés les mots : « ou du 31 mars 2013 ».

Article 5


L’annexe 1 est remplacée par l’annexe au présent décret.

Article 6


Le ministre des finances et des comptes publics, la ministre des affaires sociales et de la santé, la ministre de la fonction publique et le secrétaire d’Etat chargé du budget sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Annexe


ANNEXE 1

LISTE DES GRADES DES CORPS ACCESSIBLES PAR LA VOIE DES CONCOURS RÉSERVÉS

Catégorie A

1° Personnels techniques :

a) Ingénieurs hospitaliers ;

b) Ingénieur hospitalier en chef de classe normale ;

c) Ingénieurs hospitaliers de l’Assistance publique-hôpitaux de Paris ;

d) Ingénieur hospitalier en chef de classe normale de l’Assistance publique-hôpitaux de Paris ;

2° Personnels des services de soins et des services sociaux :

a) Psychologues de classe normale ;

b) Sages-femmes des hôpitaux du premier grade ;

c) Infirmiers en soins généraux du premier grade du corps des infirmiers en soins généraux et spécialisés ;

d) Infirmiers anesthésistes du troisième grade du corps des infirmiers en soins généraux et spécialisés ;

e) Infirmiers de bloc opératoire du deuxième grade du corps des infirmiers en soins généraux et spécialisés ;

f) Puéricultrices du deuxième grade du corps des infirmiers en soins généraux et spécialisés ;

g) Cadres socio-éducatifs du corps des cadres socio-éducatifs ;

3° Personnels de rééducation :

a) Ergothérapeutes de classe normale ;

4° Personnels administratifs :

a) Attachés du corps des attachés d’administration hospitalière.

Catégorie B

1° Personnels des services médico-techniques, de rééducation et des services sociaux :

a) Manipulateurs d’électroradiologie médicale de classe normale ;

b) Préparateurs en pharmacie hospitalière de classe normale ;

c) Techniciens de laboratoire de classe normale ;

d) Diététiciens de classe normale ;

e) Masseurs-kinésithérapeutes de classe normale ;

f) Orthophonistes de classe normale ;

g) Orthoptistes de classe normale ;

h) Pédicures-podologues de classe normale ;

i) Psychomotriciens de classe normale ;

j) Animateurs ;

k) Assistants socio-éducatifs ;

l) Conseillers en économie sociale et familiale ;

m) Educateurs de jeunes enfants de classe normale ;

n) Educateurs techniques spécialisés de classe normale ;

o) Moniteurs-éducateurs.

Catégorie C

1° Personnels des services de soins :

a) Aides-soignants de classe normale.


Fait le 11 août 2016.

Manuel Valls
Par le Premier ministre :

La ministre des affaires sociales et de la santé,
Marisol Touraine

Le ministre des finances et des comptes publics,
Michel Sapin

La ministre de la fonction publique,
Annick Girardin

Le secrétaire d’Etat chargé du budget,
Christian Eckert




Les mouvements du monde de la santé et du social du 15 juillet au 15 août

Les mouvements du monde de la santé et du social du 15 juillet au 15 août


 - HOSPIMEDIA
Marie-Anne Jacquet est nommée sous-directrice du pilotage de la performance des acteurs de l'offre de soins à la DGOS. Thomas Wanecq est quant à lui reconduit dans ses fonctions de sous-directeur du financement du système de soins à la Direction de la sécurité sociale, à l'administration centrale du ministère des Finances et des Comptes publics.

Présidence de la République et ministères

Plusieurs nominations dans les cabinets ministériels ont été actées au Journal officiel (JO) fin juillet et début août. Thierry Aulagnon est nommé directeur de cabinet du ministre des Finances et des Comptes publics, à compter du 3 août 2016. Il remplace Claire Waysand. À compter du 1er septembre, Camille Maire deviendra pour sa part chef adjoint de la ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social. Au ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, Marianne Beseme est nommée directrice adjointe de cabinet en charge de la jeunesse et Mathilde Gouget devient conseillère pour les politiques éducatives et associatives. Elles remplacent respectivement Mikaël Garnier-Lavalley et Jérôme Fournier, à compter du 1er septembre prochain également.

Administration centrale

Marie-Anne Jacquet est nommée sous-directrice du pilotage de la performance des acteurs de l'offre de soins à la DGOS à compter du 8 août, selon un arrêté paru le 3 août au JO. Elle remplace à ce poste Yannick Le Guen, qui avait assuré pendant six ans cette sous-direction. Il a quitté la direction générale ministérielle pour devenir, au 1er juillet dernier, le nouveau directeur de la stratégie de l'ARS Île-de-France.

Thomas Wanecq, inspecteur des affaires sociales de 1ère classe, est reconduit dans ses fonctions de sous-directeur du financement du système de soins, à la Direction de la sécurité sociale (DSS), à l'administration centrale du ministère des Finances et des Comptes publics. Sa reconduction, publiée au JO du 11 août, est effective à compter du 30 août prochain.

Missions, instances et organes officiels

Par arrêté du ministre des Finances et des Comptes publics et de la ministre des Affaires sociales et de la Santé publié au JO le 17 juillet, Sylvie Dumilly est nommée membre du conseil d'administration de l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale, en tant que représentante des employeurs et sur désignation du Mouvement des entreprises de France (Medef). Elle remplace Émilie Morin. Sa suppléante est Agnès Laleau.

Le 20 juillet dernier la directrice générale de l'Agence nationale du développement professionnel continu (ANDPC), Michèle Lenoir-Salfati, a annoncé la création imminente des instances du DPC. Le 28 juillet, l'agence a officialisé la nomination du Dr Jean-François Thébaut à la présidence du Haut Conseil du DPC. Cette décision a été prise par arrêté ministériel signé le 22 juillet dernier.

Par ailleurs, le JO du 22 juillet liste les nominations au sein de l'assemblée plénière du Conseil commun de la fonction publique. Parmi elles, plusieurs représentants des organisations syndicales de fonctionnaires. Les nominations de Nathalie Demont etOlivier Bouis, en tant que membres suppléants, sont officialisées le 7 août. Ils remplacent Isabelle Fleurence et Jean-Pierre Moreau.

Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a également arrêté la composition du conseil d'orientation stratégique du Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie. Un arrêté publié au JO du 31 juillet livre les noms des trente représentants nommés pour cinq ans.

Un arrêté publié au JO le 6 août annonce la nomination de plusieurs nouveaux membres du conseil d'administration du Centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière. Didier Hœltgen, secrétaire général du CH-FO, directeur du CH de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), devient membre titulaire, en qualité de membre proposé par une organisation syndicale représentative des personnels de direction et des directeurs des soins, en remplacement de Christian Gatard. Jean-Yves Grall, directeur général de l'ARS Nord-Pas-de-Calais-Picardie, et Daniel Cassé, président de la Conférence nationale des directeurs d'établissements publics pour personnes âgées et personnes handicapée (CNDEPAH) et directeur de l'Ehpad Les Jardins de Voltonia, situé à Tonnay-Boutonne (Charente-Maritime), sont nommés membres suppléants. Ils remplacent respectivement Philippe Damie et Marie-Hélène Angelloz-Nicoud.

ARS, instances régionales

Sandra Desmettre, directrice de cabinet au sein de la mairie de Paris, vient d'être nommée directrice générale adjointe de l'ARS Océan Indien. Elle a pris ses fonctions le 1er août et succède à ce poste à Nicolas Durand. Ce dernier a pour sa part rejoint l'Inspection générale des affaires sociales (Igas).

Assurance maladie, vieillesse, complémentaires

Jean-Luc Gibelin, vice-président du conseil régional de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, est nommé, par arrêté de la ministre de la Fonction publique et du secrétaire d'État chargé du Budget publié au JO du 17 juillet, membre titulaire du conseil d'administration de l'établissement de retraite additionnelle de la fonction publique, en qualité de représentant de l'Association des régions de France. Il remplace Éric Loiselet.

Ce JO officialise également la nomination d'Agnès Laleau, par arrêté du ministre des Finances et des Comptes publics et de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, membre du conseil d'administration de la Caisse nationale d'assurance vieillesse en tant que représentante suppléante des employeurs et sur désignation du Mouvement des entreprises de France (Medef).

Le nouveau conseil d'administration de la Caisse autonome de retraite et de prévoyance des infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, pédicures-podologues, orthophonistes et orthoptistes (Carpimko) s'est réuni le 21 juillet. Il a procédé à l'élection des membres de son bureau et des différentes commissions. Marie-Anne François, orthophoniste, représentante de la Fédération nationale des orthophonistes (FNO), a été réélue présidente.

L'Union nationale des professionnels de santé (UNPS) s'est réunie en assemblée plénière extraordinaire le 21 juillet. À cette occasion, Daniel Paguessorhaye a été réélu à sa présidence. Il est par ailleurs, depuis 2013, le président de la Fédération française des masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs (FFMKR).

Le JO du 30 juillet officialise la nomination d'un nouveau membre du Conseil d'orientation des retraites (Cor). Érick Stælen devient membre en tant que représentant des organisations professionnelles et syndicales. Il remplace Régis Metzger.

Par arrêté publié au JO du 3 août, Didier Quercioli est nommé membre titulaire du conseil de la Caisse nationale de l'Assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts), en tant que représentant de la Fédération nationale de la mutualité française. Il remplace Marc Tranchat.

Armelle Beunardeau
 est reconduite dans ses fonctions de directrice de projet à la Direction de la sécurité sociale, chargée notamment de coordonner et d'animer les travaux menés sur la protection sociale des départements et collectivités d'outre-mer et de développer la synthèse et la coordination sur l'action sociale des caisses de sécurité sociale. Elle est renouvelée pour trois ans à compter du 30 août 2016.

Le JO du 14 août officialise la nomination de Yannick Claudet en tant que membre suppléant du conseil d'administration de l'institution de retraite complémentaire des agents non titulaires de l'État et des collectivités publiques. Il représente les bénéficiaires au titre de la CGT.