Introduction

Ce blog est construit par L'Amicale Alésia 10, mais ne lui est pas réservé. Les contenus que nous publions peuvent utiles à tous les locataires. les dossiers ouvert (étiquettes) sont d’intérêt général, surtout les législatifs. vous pouvez nous contacter, pour toute question, y compris non ouverte, nous ouvrirons un dossier pour vous aider.
cordialement le webmaster.


LÉGISLATION-ENTRAIDE-CONVIVIALITÉ

dimanche 31 juillet 2016

les conditions de logement des salariés et des retraités.








La CFDT lance une enquête par questionnaire auprès
sur les conditions de logement des salariés et des retraités.
Ce travail d’enquête sera l’occasion de mobiliser le réseau militant
sur la problématique du logement. Il nous permettra également
 de contribuer à faire connaître l’action de la CFDT aussi bien
 en direction de nos partena

ires institutionnels,
qu’en interne, pour que le logement soit considéré comme un objet
 à part entière dans l’action syndicale.
Cette enquête fait suite à une première étude qualitative
qui porte sur le lien emploi/logement, réalisée dans le cadre
de l’Agence d’objectifs de l’Institut de Recherches Economiques
 et Sociales (IRES) dont les résultats ont été présentés
 aux mandatés logement le 11 mai 2016 à la Confédération
puis seront mis en ligne sur le site confédéral.
Il faudra mobiliser toutes nos structures professionnelles
 et interprofessionnelles pour en faire une réussite.
Les résultats de cette enquête, comme ceux de l’étude
 sur le lien emploi/logement serviront d’une part à nourrir
notre réflexion mais d’autre part à bâtir le cahier revendicatif
 de la CFDT en vue des prochaines échéances électorales.
Ils pourront également faire l’objet d’un colloque
 début 2017 impliquant des militants investis sur le logement,
 des acteurs de la société civile et des partenaires institutionnels.
Amicale Alésia10-cfdt 

http://cfdt.net-survey.eu/logement/

Loi travail : Ce qu'il faut retenir du texte

Loi travail : Ce qu'il faut retenir du texte

PUBLIÉ LE 21/07/2016 À 16H34par Aurélie Seigne
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À l’issue d’un parcours d’obstacles qui a vu se succéder les versions (et visions) du projet de loi, que faut-il retenir du texte définitivement adopté le 21 juillet ?

Dernière minute
Les députés du groupe Les Républicains ont saisi le Conseil constitutionnel sur la création d’une instance de dialogue social dans les réseaux de franchise de plus de 300 salariés. Le Conseil doit se prononcer sur leur recours au plus tard le 21 août.
Au terme de cinq mois de débats et polémiques, mais aussi de violences sans précédent, le projet de loi Travail a été définitivement adopté à l’Assemblée nationale ce 21 juillet. « C’est un texte majeur pour la structuration des relations sociales et les droits des salariés », a salué Véronique Descacq, secrétaire générale adjointe. Le texte initial, « visant à instituer de nouvelles libertés et de nouvelles protections pour les entreprises et les actifs », a été amplement transformé et rebaptisé « projet de loi relatif au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels ». Tout du long, la CFDT a été en première ligne pour en faire un texte porteur de progrès pour les salariés, à la fois par davantage de dialogue social, dans l’esprit du rapport Combrexelle, et par de nouveaux droits attachés à la personne, dans la continuité d’une décennie de sécurisation des parcours professionnels.
La compétitivité (aussi) dans l’intérêt des salariés
Les mesures inacceptables de la première version n’ont pas fait long feu face à une contestation unanime : le gouvernement a dû céder sur le plafonnement des indemnités prud’hommes, rétablir un droit du travail supplétif (qui s’applique en l’absence d’accord) à la hauteur de l’existant, renoncer à étendre le pouvoir de décision unilatéral de l’employeur, rétablir le périmètre du groupe pour apprécier la justification d’un licenciement économique… Mais c’est surtout par l’ampleur de ses propositions que la CFDT a pesé. Avec deux lignes de force : le renforcement des droits des travailleurs et l’affirmation du dialogue social comme vecteur de compromis permettant de concilier la compétitivité des entreprises (et donc l’emploi en France) et les intérêts des salariés, en faisant confiance aux acteurs de terrain pour trouver les solutions les plus adaptées à leurs réalités.
C’est l’esprit du fameux article 2 : si les conditions d’un accord majoritaire (validé par des organisations pesant 50% ou à défaut la majorité des salariés consultés à la demande d’organisations pesant 30%) sont réunies, les modalités d’organisation du temps de travail peuvent être négociées, dans les limites ouvertes par la loi. Si tel n’est pas le cas, c’est le droit du travail actuel qui continue de s’appliquer. La loi entérine également, en les encadrant, les accords défensifs et offensifs pour l’emploi, tels qu’en ont signé STX, Renault, Michelin ou Peugeot, mais aussi nombre de plus petites entreprises qui font face aux mêmes mutations : partage de l’information pour un diagnostic partagé ; préambule précisant les objectifs poursuivis ; négociation par la voie du mandatement ; droit à l’expertise ; durée de cinq ans par défaut.
La culture du dialogue social
La loi vise aussi à renforcer la culture du dialogue social. À commencer par le mandatement (d’un élu ou d’un salarié) en l’absence de délégué syndical, qui n’est plus limité aux négociations obligatoires. La branche a vu son rôle de régulateur réaffirmé en matière de salaires minima, classifications, garanties collectives complémentaires et mutualisation des fonds de la formation professionnelle, mais aussi de prévention de la pénibilité et d’égalité professionnelle. D’ici deux ans, chaque branche devra négocier son ordre public conventionnel, soit « les thèmes sur lesquels les accords d’entreprise ne peuvent être moins favorables que les accords conclus au niveau de la branche, à l’exclusion des thèmes pour lesquels la loi prévoit la primauté de l’accord d’entreprise ».
Concernant les acteurs du dialogue social, la loi sécurise la mise à disposition de locaux syndicaux par les collectivités territoriales ; elle augmente de 20% les heures de délégation syndicale ; elle clarifie la prise en charge de l’expertise CHSCT par l’employeur ; elle permet de répartir, par accord, le budget des activités sociales et culturelles des comités d’établissement au prorata des effectifs ; une partie du budget de fonctionnement pourra aller à la formation des élus. Enfin, la CFDT a obtenu la création d’une instance de dialogue social dans les réseaux de franchise de plus de 300 salariés si les conditions et l’organisation du travail dépendent de la tête de réseau.
Droits sociaux du XXIe siècle
L’autre grand volet de la loi, c’est l’ambition de construire des droits adaptés aux bouleversements du marché du travail. C’est l’objectif des mesures encadrant les forfaits-jours (mesure de la charge de travail, droit à la déconnexion, etc.) comme de la responsabilisation des plateformes (accidents du travail, formation professionnelle, droits syndicaux, etc.) vis-à-vis de « leurs » travailleurs lorsqu’elles dictent la nature de la relation avec les clients. Cette ambition est surtout au cœur du compte personnel d’activité que la CFDT a mis sur les rails lors du congrès de Marseille en 2014 et que le gouvernement a repris à son compte. C’est une première étape majeure, même si son contenu est pour l’heure limité au compte personnel de formation et au compte personnel de prévention de la pénibilité, auquel s’ajoute un nouveau compte d’engagement citoyen – mais pas de compte épargne-temps, comme la CFDT le revendiquait. La grande nouveauté du CPA, c’est qu’il bénéficiera à tous les travailleurs – jeunes, indépendants, agents publics, salariés – dès l’âge de 16 ans jusqu’à la fin de leur vie. En outre, et la CFDT y tenait, la loi acte le principe d’un accompagnement global et personnalisé, notamment par le biais du conseil en évolution professionnelle, pour renforcer l’effectivité de ces droits. Autant de briques à partir desquelles la CFDT ambitionne de construire à terme un dispositif plus complet. La concertation sur « les dispositifs pouvant être intégrés dans le compte personnel d’activité », prévue d’ici le 1er octobre 2016 entre les partenaires sociaux devrait servir cet objectif. Reste à savoir si l’ensemble des acteurs, patronat en tête, auront retrouvé le chemin de la raison d’ici là.
http://www.assemblee-nationale.fr/14/pdf/ta/ta0728.pdf

http://www.assemblee-nationale.fr/14/pdf/ta/ta0807.pdf

CONTRE LA COMMERCIALISATION DE LA SANTÉ etdelaprotectionsociale

JOURNÉE EUROPÉENNE D’ACTION CONTRE LA COMMERCIALISATION DE LA SANTÉ etdelaprotectionsociale
 En Europe et dans le monde, la Santé est de plus en plus considérée comme une marchandise. Au niveau du financement des soins, la sécurité sociale et le financement public sont ainsi de plus en plus fragilisés. Au contraire, des holdings financiers exigent de pouvoir investir dans ce marché (assurances privées). Au niveau des soins eux-mêmes, les opérateurs commerciaux prennent une place grandissante, au détriment des opérateurs publics ou non marchands (maisons de repos, laboratoires, …). Les législations nationales et européennes (politiques d’austérité, gouvernance économique, marchés publics,…) ainsi que la politique commerciale de l’Europe (accords de libre-échange tels que le TTIP, TISA , CETA) affaiblissent les systèmes de soins et font peser d’énormes menaces sur notre santé, sur les normes sanitaires, mais aussi en matière environnementale, agricole,…, ce qui influence directement notre santé. Concrètement, nous constatons les conséquences suivantes dans toute l’Europe : • la dégradation de la qualité des soins • un accès de plus en plus limité aux soins de santé, surtout pour les plus vulnérables • la dégradationdes conditionsdetravail du personnel de santé • la dégradation des déterminants de la santé (pauvreté, pollution, éducation, emploi, logement…) • une médecine à 2 vitesses (liste d’attente, facture à payer par le patient plus élevée, équipements différents…)… Ça suffit ! Participons aux actions menées dans de nombreux pays ce 7 avril, pour stopper les mécanismes de commercialisation de la santé etleurs conséquences. En Belgique, action organisée par : LaPlate-formed’actionSanté&Solidarité ; CSC et FGTB ; les centrales syndicales du secteur de la santé CNE-CSCSP et Setca-CGSP-CG ; MutualitéChrétienne ; Solidaris ; Fédérationdesmaisons médicales ; CNCD-11.11.11 (et la campagne « Protection Sociale ») ;CBCS ; FOS ; Médecinepourlepeuple ; M3M ; FemmesetSanté ; TradeandHealth Network ;Memisa ; laLUSS ; Médecins du Monde….

FPH / Protection sociale : Complémentaire retraite hospitalière (CRH)

FPH / Protection sociale : Complémentaire retraite hospitalière (CRH)

07.07.2016
Déjà en 1980, face au provisionnement insuffisant du régime, la CFDT n’a cessé d’alerter le conseil d’administration du CGOS précisant que les mesures soumises par ALLIANZ ne permettraient pas d’honorer les engagements pris auprès des affiliés. 
FPH / Protection sociale : Complémentaire retraite hospitalière (CRH)
En juillet 2008, le CGOS, ALLIANZ et les pouvoirs publics ont mis en œuvre un plan de convergence sur 20 ans pour permettre au régime de couvrir progressivement ses engagements.
Huit ans après le 1er plan de consolidation, le régime R1 (Régime des agents ayant cotisés avant 2008) de la CRH n’échappera pas à un nouveau plan de sauvegarde. 
La proposition qui sera faite à l’assemblée générale extraordinaire du 1er septembre 2016 est la suivante :
• Les pouvoirs publics prorogent de 3 ans leur soutien financier à hauteur de 14 millions d’euros par an jusqu’en 2030 ;
• ALLIANZ abandonne ses frais de gestion lié au R1 soit 24 millions d’euros par an jusqu’en 2030 ;
• Les affiliés voient leur rente ou future rente sur le R1 réduite.
Ce nouveau plan garantit les droits acquis entre 1998 et 2008 et proroge le bénéfice de la rente de 10 ans à 15 ans. Il devrait consolider le R1. Le R2 (Régime des agents ayant cotisés après 2008) n’étant pas concerné ici. 
Ce plan est accompagné de 2 mesures :
Pour les cotisants :
• La mise en place au 1er janvier 2017 d’une assurance décès couvrant l’intégralité des cotisations versées et la possible transmission à une personne au choix de l’agent.
Pour les nouveaux allocataires :
• La  mise en place au plus tard au 1er janvier 2019 d’une option de 25 annuités garanties permettant, si décès, le transfert de la rente restant à courir à la personne choisie.
Par ses nombreuses et récurrentes alertes, la CFDT Santé Sociaux était bien dans l’anticipation mais elle n’a pas été entendue. Ce plan sécurise momentanément une partie du régime, mais défavorise les rentes les plus basses et laisse trop d’incertitudes sur la pérennité de l’ensemble du régime. 
Pour la CFDT Santé Sociaux, il est urgent de repenser l’ensemble de la protection sociale dans la FPH, pour plus de justice sociale.

mardi 19 juillet 2016

Paris Plages 2016: découvrez le programme

Paris Plages 2016: découvrez le programme
Mis à jour le 18 juillet 2016—Loisirs—Culture—Sport—Tourisme—Loisirs

Parvis de l'Hôtel de Ville
Bassin de la Villette
Voie Georges-Pompidou
Clo'e Floirat signe l'affiche de l'édition 2016

À partir du mercredi 20 juillet et jusqu'au 4 septembre, direction le parvis de l’Hôtel de Ville, la voie Georges-Pompidou et le bassin de la Villette, pour profiter de Paris Plages et de ses nombreuses animations culturelles et sportives, en famille ou entre amis.
Tout le programme de Paris Plages
Durant six semaines, Paris Plages permet à tous les Parisiens de profiter pleinement des vacances et de vivre autrement l’été dans la capitale. Ce rendez-vous incontournable se tient une fois encore sur le parvis de l’Hôtel de Ville, sur la voie Georges-Pompidou et au bassin de la Villette. Cette grande fête continue de prendre de l'ampleur, puisque les 14e et 20e arrondissements installent leur propre plage dans les centres sportifs Elisabeth et Louis Lumière.
Parvis de l'Hôtel de Ville

Le Festival Fnac Live revient pour une 6e édition qui mettra à l’honneur artistes confirmés et jeunes talents soutenus par la Fnac, Le Festival proposera, du 20 au 23 juillet, quatre soirées de concerts gratuits.

Le 17 août de 14h à 23h, The Walt Disney Company France et Disneyland Paris invitent tous les promeneurs à vivre une journée d’exception placée sous le signe des océans.

Du 18 au 21 août, vous pourrez assister à la retransmission des Jeux Olympiques de Rio de Janeiro sur écran géant.

Le public pourra également retrouver un espace de beach-volley pour jouer comme à la plage en plein cœur de Paris.
Liens

Tout le programme de Paris Plages sur le parvis
Bassin de la Villette

Du 20 juillet au 4 septembre

Sur le plan d'eau, les activités nautiques sont reines : pédalo, vélo-pédalo, sphère, bateau électrique, voilier, aviron, etc. Le long du bassin, Parisiens et visiteurs peuvent s’adonner à de nombreux autres sports : baby-foot, taï-chi, boulodrome ou encore danse. Vous pourrez également effectuer la traversée aller-retour du bassin en tyrolienne sur plus de 160 mètres de long et à 8 mètres du sol.

La culture n'est pas oubliée, avec le musée de la Marine qui propose de nombreuses activités autour du thème de la mer, ou encore la présence des bibliothécaires de la Ville de Paris qui investissent Paris Plages avec leurs chariots de livres, albums, revues, tablettes… À l'initiative des éditions Delcourt et Soleil une bédéthèque de prêt offre un très large choix de bandes dessinées, mangas et comics, pour tous les âges, pour se détendre ou se cultiver. Quai de la Seine, un studio photo ludique prendra place autour des Cultures métisses. La ville de Palavas-les-Flots, invitée au Bassin de la Villette, vous propose de découvrir la culture et le patrimoine méditerranéen.

Pour la première fois, un stand dédié au Budget participatif s’installe à Paris Plages. Le Budget participatif permet aux Parisiens de proposer des projets d’investissements pour la ville ou leur arrondissement. 299 projets ont été déposés pour le 19e arrondissement. Ce stand est pensé pour être un moment fort de rencontres avec l’équipe démocratie locale du 19e.

Et toujours:

Le Secours populaire qui prend place  afin de sensibiliser les petits et les grands aux valeurs de solidarité et de bénévolat.
Le Cafézoïde, espace familial, ouvert et convivial où les enfants peuvent jouer et créer en toute liberté, boire un verre ou bien manger, faire de la musique.
Paris Santé, dont l'objectif est de faciliter l'accès à l'information et aux outils de prévention dans le domaine de la santé.
Liens

Tout le programme de Paris Plages au bassin de la Villettenouvelle fenêtre
Voie Georges-Pompidou

Du 20 juillet au 4 septembre

La voie Georges-Pompidou se transforme en station balnéaire. Le long de cette plage les animations sont nombreuses et variées.

Place d'abord à la culture et à l'art, avec le musée du Louvre et ses œuvres sur le thème du Royaume de Neptune. Paris Musées et le musée d’Art moderne qui présentent un ensemble de reproductions d’œuvres du peintre Albert Marquet, ou encore la bibliothèque éphémère.

Les sportifs ont quant à eux le choix entre taï-chi, danse, baby-foot et boulodrome. Entre le pont Notre-Dame et le pont d’Arcole les villes de Tunis et Sousse apportent des parfums et des saveurs venus de Tunisie.  La boutique propose des articles aux couleurs de la Ville de Paris. Enfin, la Ville de Paris a évidemment pensé aux enfants: ils ont un club dédié, comme chaque année, et peuvent allier exercice physique et découverte grâce aux P'tits Vélib' mis à leur disposition.

Enfin, pour vous désaltérer, buvettes, glaciers et fontaines à eau sont à votre disposition.
Liens

Tout le programme de Paris Plages sur la voie Georges-Pompidounouvelle fenêtre
Clo'e Floirat signe l'affiche de l'édition 2016

C’est devenu une tradition, depuis plusieurs années, de donner carte blanche à un illustrateur ou une illustratrice dans la création du visuel de Paris Plages. La Ville de Paris laisse Clo’e Floirat, une illustratrice en pleine émergence, donner les couleurs de cette édition 2016.

Clo’e Floirat est critique d’art et dessinatrice. Elle écrit pour diverses revues : artpress –chronique dessinée mensuelle–, Intramuros, L’Architecture d’Aujourd’hui, Frieze, L’Officiel Art, World of Interiors… Elle collabore également cette année avec la galerie Kamel Mennour qui exposera les dessins de leur collaboration à la fin de l’année 2016, lors d’une exposition qui lui sera consacrée. Invitée à chaque «Monumenta» du Grand Palais depuis 2011, Clo’e dessine et commente les coulisses des installations aux côtés des artistes. Plus récemment Clo’e est intervenue en tant que «dessinatrice-critique- live» sur les murs de la foire d’art contemporain Art Brussels. Elle vient de publier son premier livre aux Éditions Marabout Pas mal pour de l’art! qui a donné lieu à une exposition chez Colette.

L'agriculture se développe dans la capitale

L'agriculture se développe dans la capitale avec des vignes, des potagers, des vergers, des ruches, des poulaillers... Découvrez la ferme de Paris dans le bois de Vincennes et la ferme mobile une fois par mois dans un espace vert de la capitale.

Des fermes dans Paris

Les petits élevages en ville sont des opportunités pour l’environnement, le tissus social et la pédagogie. Ils permettent de développer l’éco-pâturage, de recycler les déchets organiques, de fertiliser les cultures. Ils encouragent la participation citoyenne et offrent un support pédagogiques stimulant pour l’éducation à l’environnement.
La Mairie de Paris soutient le développement de fermes pédagogiques urbaines dans les espaces verts et les jardins, de poulaillers participatifs et d’opérations « ferme hors les murs » présentant les différents types d’élevage adaptés à la ville.  

La ferme mobile

Brebis, lapins, poules et canards... La Ferme de Paris vient à la rencontre des Parisiens dans les espaces verts de la capitale. Chaque mois, elle déploie dans un arrondissement différent, les samedis ou les mercredis une petite ferme pédagogique : la Ferme mobile. Le public pourra y découvrir des brebis, des lapins, des poules et des canards mais aussi des aménagements adaptés à l’élevage en ville.
Le samedi, le grand public pourra s’initier à l’agriculture urbaine auprès des agents de la Ferme de Paris présents sur place pour répondre aux questions. Le mercredi, une découverte des animaux de la ferme sera proposée aux enfants des centres de loisirs.
Consulter le calendrier pour connaitre les dates de déploiement

Animaux de ferme, abeilles...

Les ruches

Il semblerait que nos amies les abeilles deviennent citadines : les ruchers sont de plus en plus nombreux dans les jardins de Paris. Saviez-vous que Paris compte près de 600 ruches ?

La ville, un refuge pour les abeilles

En ville, les températures plus clémentes, la diversité des plantations, les méthodes de culture sans engrais et sans pesticides, la multiplication des espaces verts, les plantations sur les terrasses, bords de fenêtres et cours séduisent les abeilles.
Dans les jardins, les floraisons s’étalent du printemps à l’automne et les abeilles ont de quoi butiner une bonne partie de l’année. Une abeille butine 700 fleurs par jour dans un périmètre de trois kilomètres autour de la ruche. La plupart des végétaux ne peuvent se féconder sans le butinage des abeilles.
Leur rôle est indispensable dans la nature. La présence des abeilles est un signe de bonne santé de notre environnement et leur préservation c’est aussi sauver la planète. 

Les ruchers implantés sur le domaine public


Comment implanter une ruche à Paris?

Si vous avez un espace suffisamment grand, (il faut prévoir au moins un mètre autour de la ruche), et que vous décidez d'y implanter une ruche, il est indispensable de demander conseil à un syndicat ou association d'apiculteurs qui vous guidera dans vos démarches. Une ruche demande des soins précis tout au long de l'année et il est indispensable d'en connaître le fonctionnement. Cela impose des contraintes d'implantation et de gestion. Au même titre que les animaux domestiques les abeilles dépendent d'une règlementation agricole et les ruches doivent être déclarées et immatriculées auprès des services vétérinaires.
Renseignez-vous auprès de la » Société centrale d'apiculture de Paris où du » Syndicat d'apiculture (UNAF).
La déclaration annuelle des ruches redevient obligatoire en 2010
Le recensement apicole annuel, qui avait été institué en 1980 puis remplacé en 2006 par une simple déclaration en cas de modification notable des ruchers, devient à nouveau obligatoire. Depuis le 1er janvier 2010, les apiculteurs doivent obligatoirement faire la déclaration de leur rucher chaque année, et ce dès la première ruche.
Le nouveau formulaire de déclaration de rucher est disponible sur le » site Internet de la préfecture de police . Il doit être adressé à la direction départementale des services vétérinaires de Paris pour les installations parisiennes.
La déclaration doit être fournie dans un délai d'un mois après l'installation ou la prise de possession des ruches et doit être renouvelée chaque année.

Que fait la Ville pour protéger les abeilles?

Les jardiniers municipaux participent au bien être des abeilles en favorisant les plantations riches en pollen et en nectar autour des ruches. Les abeilles sont domestiquées par l'homme depuis très longtemps et leur survie est totalement liée à nos actions. Elles ont un rôle essentiel et notre vie est étroitement liée à la leur. Elles contribuent à la pollinisation de 80% des espèces de plantes à fleurs et à fruits de notre planète, soit plus de 200 000 espèces,et ont ainsi un rôle essentiel dans le maintien de notre biodiversité. Selon les dernières données de l’INRA, 35% de la quantité de notre alimentation et 65% de sa diversité dépendent de la pollinisation par les abeilles. Or,elles connaissent aujourd’hui un taux de mortalité annuel de 30%."

Comment préserver les abeilles et autres insectes pollinisateurs?

Il n'y a pas que l'abeille qui pollinise les fleurs. Les bourdons,syrphes,papillons...contribuent aussi à ce travail. Pour préserver ces précieux insectes plantez ou semez vos cours, balcons, terrasses, bords de fenêtres, toitures avec des plantes à fleurs. Proscrire tout produit sanitaire. Les engrais ne sont pas nécessaires pour les plantes d'ornementation. Accepter la faune naturelle nécessaire au cycle de vie des plantes.

Les poulaillers

Les poules c'est sympa, écologique, ça mange tout vos déchets de cuisine, et ça pond des oeufs ! Du coup les belles sont bienvenues en ville et s'installent dans les jardins partagés et certains espaces verts parisiens.

Où voir des poules à Paris?

La ferme de Paris

Située dans le bois de Vincennes, la Ferme de Paris est une exploitation de 5 hectares, gérée dans le respect de l’environnement. 
Ferme de Paris
1, route du Pesage - Bois de Vincennes
75012 PARIS
  • Maisons-Alfort Stade
  • 44101 - PLACE MONGOLFIER (SAINT MAURICE)

Des brebis pour tondre les pelouses

Depuis quelques temps on peut apercevoir en pleine ville des brebis (d'Ouessant) qui entretiennent les pelouses. Ayant à cœur de préserver ses espaces verts naturels et de renouer le lien entre la nature et les habitants du quartier, il était tout naturel d’introduire un moyen écologique pour l’entretien de ces espaces. C'est ainsi que l'’éco-pâturage s'est installé dans les jardins parisiens. Pendant les mois d'hiver, les brebis sont hébergées à la Ferme de Paris.

Des chevaux pour travailler au bois de Vincennes

Rapido, Baronne et Idéal sont trois chevaux ardennais employés depuis 1998 pour effectuer des travaux d’entretien dans le bois de Vincennes. Le retour du cheval en ville c’est un peu de nature lancée à la conquête du milieu urbain. Vers la fin des années 80, la reconquête des anciens terrains militaires situés au cœur du bois de Vincennes, les importants reboisements qui l’ont accompagnée, la fermeture de la moitié des voies circulées, leur transformation en chemin de promenade et la montée en puissance des préoccupations environnementales ont suscité une réflexion approfondie de la ville de Paris sur une gestion plus durable du bois.
C’est dans ce contexte que l’atelier des chevaux de trait du bois de Vincennes fut créé en 1998.
L'atelier est composé de 3 chevaux menés par 5 agents.
Les taches principales effectuées par cet atelier sont :
  • L’abattage et le transport de bois de chauffage et de grumes.
  • Le transport de déchets verts : feuilles, copeaux, résidus de taille, branchages …
  • L’épandage de broyat dans les cuvettes d’arrosage d’arbres et sur des zones d’arbustes.
  • Le hersage de pistes cavalières
  • L’arrosage d’arbres et de massif d’arbustes.

Vergers, vignes, potagers urbains

Des vergers dans les écoles

Des vergers pédagogiques vont être installés dans les écoles disposant de suffisamment de place et d'ensoleillement pour que les arbres puissent fructifier. Une belle façon de faire découvrir aux jeunes citadins comment poussent les fruits des étalages des supermarchés. Ils auront aussi le plaisir, rare en ville, de goûter pommes, poires et prunes cultivées par leurs soins !
Les vergers dans les écoles seront à la fois des lieux d’apprentissage et d’initiation, de sauvegarde d’anciennes variétés, de sensibilisation à l’environnement, à la biodiversité et aux questions d’alimentation. Ils seront entretenus de manière écologique et sans traitement chimique. Les fruits seront récoltés par les enfants et pourront être dégustés.
Partout où les conditions sont réunies, ( surface de pleine terre disponible, bon ensoleillement, accès facile pour les élèves...) un verger sera proposé. Pour lancer ce programme de création de vergers 6 écoles ont été retenues :
  • L’école élémentaire de la Brèche-aux-Loups (12e) : 7 arbres ;
  • L’école maternelle et élémentaire Maurice-Ocagne (14e) : 20 arbres ;
  • L’école polyvalente des Frères-Voisin (15e) : 5 arbres ;
  • L’école maternelle Serge-Prokofiev (16e) : 12 arbres ;
  • L’école maternelle et élémentaire René-Binet (18e) : 13 arbres ;
  • L’école polyvalente Le Vau, (20e) : 11 arbres.

Un verger dans la cour intérieure de la mairie du 4e

Une douzaine d'arbres fruitiers ont été plantés dans la cour de la mairie du 4eentièrement réaménagée. Les herbes folles poussent entre les pavés et des bancs pour le repos ont été installés pour une petite pause au calme et à l'abri des bruits de la rue. Le verger se compose de 12 arbres (4 pommiers, 4 cerisiers et 4 poiriers) produisant des fruits comestibles qui seront récoltés par les agents de la mairie, par les Parisiens et par les enfants des écoles tout en offrant une belle floraison au printemps. Ces citadins peuvent ainsi observer les différentes étapes de la pousse et de la fructification et participer à des séances de dégustation et de sensibilisation au goût.

Les vignes parisiennes

Actuellement, on compte 132 vignes en Île-de-France dont une dizaine à Paris. Découvrez les cinq principales vignes entretenues par la Ville de Paris...  

Les jardins partagés

Le jardin partagé est un espace vert cultivé et animé par les habitants. C'est un lieu de vie ouvert sur le quartier qui favorise les rencontres entre générations et entre cultures. Géré par des riverains regroupés en association, il facilite les relations entre les différents lieux de vie de l'arrondissement : écoles, maisons de retraite, hôpitaux…

Des cultures sur les murs et les toitures

Une ambition agraire et végétale 

En 2020, Paris comptera 100 hectares de toits, murs et façades végétalisés dont un tiers sera consacré à la production de fruits et légumes. Telle est notre belle ambition pour cette mandature.
Cette ambition est tout autant environnementale, économique et sociale. Les bienfaits environnementaux de la végétalisation des bâtiments sont connus: rétention des eaux pluviales, développement de la biodiversité, régulation de la température ambiante et lutte contre le phénomène d’îlots de chaleur urbain comme amélioration de la qualité de l’air. 

Un atout pour Paris

La végétalisation est un atout pour les bâtiments et leurs occupants. Elle contribue à la fois à l’amélioration de l’isolation et de l’inertie thermique, à l’isolation phonique et à la protection de l’étanchéité des toitures. L’immeuble végétalisé peut aussi être source de production avec des projets d’agriculture urbaine. La végétalisation du bâti contribue également à renforcer le lien social dont nos villes ont tant besoin.

Les défis de la végétalisation du bâti

Pour créer 100 hectares sur les murs et les toits parisiens à l’horizon 2020, deux stratégies complémentaires sont utilisées :
- un vaste programme de végétalisation du domaine municipal ;
- un panel de mesures d’accompagnement des partenaires publics et privés pour les inciter à végétaliser leurs bâtiments à travers une charte de végétalisation.
Des toits et des murs végétalisés sont autant de défis à relever dans la mesure où la végétalisation :
- modifie l’esthétique de l’architecture parisienne
- répond à des normes techniques rigoureuses
- entraîne un surcoût pour les constructeurs à court terme
- contraint l’installation et l’entretien en devant s’adapter aux cahiers des charges des gestionnaires

Les vignes parisiennes

Actuellement, on compte 132 vignes en Île-de-France dont une dizaine à Paris. Découvrez les cinq principales vignes entretenues par la Ville de Paris...